Actuellement, l’étude du phytoplancton fait l’objet de nombreuses techniques et méthodes : du microscope qui permet d’identifier les organismes à partir de quelques micromètres jusqu’au satellite qui se base sur la couleur de l’eau pour détecter le phytoplancton sur plusieurs centaines de kilomètres. Notre projet s’intéresse à l’utilisation de ces différentes techniques et tout particulièrement à l’application de techniques innovantes comme la cytométrie en flux. Chacune d’elles comporte son lot d’avantages et d’inconvénients plus ou moins forts et s’avèrent plus ou moins efficaces selon la problématique et le milieu étudié. Une association judicieuse de différentes techniques peut régler certains inconvénients des méthodes utilisées de manière isolée.
Activité 1 : Standardisation et comparaison des méthodes
Activité 2 : Automatisation des méthodes
Activité 3 : Validation commune des méthodes appliquées à l’observation et la surveillance